
Peut-on détruire ses documents après numérisation ?
La conservation des documents, que ce soit dans les entreprises ou en cabinet pour le compte des clients, est une question récurrente ! Alors que la destruction des documents originaux papier après leur numérisation n’était jusqu’à présent pas autorisée par la loi, la récente réforme du droit des contrats instaure une présomption de fiabilité pour reproductions à l’identique de la forme et du contenu. Quelques explications à travers cet article.

Votre secteur d’activité est-il l’un des plus touchés par les fuites d’informations ?
En 2015, IBM a constaté 53 millions d’évènements liés à la sécurité, 28 millions de moins qu’en 2014, soit une baisse de 35%. La mise en place de systèmes de sécurité ou d’applications par les services de sécurité d’IBM a permis de détecter ces différents évènements. De plus, les cyber-attaques ont chuté à 1.157 en 2015, contre 12.017 un an plus tôt. À travers cet article, nous vous informons sur les secteurs d’activité les plus exposés en fuites d’informations

Une entreprise sur cinq est victime d'un vol de ses secrets d'affaires selon le Parlement Européen
Alors que chaque année, près d’une entreprise sur cinq est victime d’un vol de ses secrets d’affaires, le Parlement Européen a voté la directive sur le secret des affaires, à une large majorité, afin de protéger les entreprises contre l’espionnage économique et industriel. Pour la destruction de disque dur ou de documents ...

Document – Destruction optimale, répondant à l’un des niveaux de sécurité les plus stricts
Depuis quelques années nous assistons à une augmentation importante du nombre de documents et de données. Pouvant contenir des informations sensibles et confidentielles, ces documents et ces données peuvent présenter un risque non négligeable pour les entreprises ; celles-ci étant de plus en plus confrontées à des vols de données. D’où la nécessité de ne pas négliger la destruction d’archives.

Destruction de documents en interne, avez-vous pris en compte les couts cachés ?
Chaque année, un employé du bureau utilise en moyenne 10.000 feuilles de papier, soit 45 feuilles par jour. Les employés de votre entreprise détruisent eux-mêmes leurs documents à l’aide d’une déchiqueteuse, et vous pensez que c’est la bonne solution ? Détrompez-vous ! La destruction de documents en interne peut entraîner des coûts cachés pour votre société. Pour la destruction de documents confidentiels et d’archives, faites confiance à l’expertise de Destrudata, qui vous délivrera un certificat de destruction après chaque intervention.

Destruction de documents - Commettez-vous ces erreurs ?
En 2015, les PME ont enregistré 64% de cyberattaques en plus, par rapport à 2014. Pour éviter la violation de données, vous, ainsi que les salariés de votre entreprise, devez connaître les zones à risque d’une société. Cet article vous présente les objets de bureau, en apparence inoffensifs, mais pouvant conduire à des fuites de données confidentielles.

Savez-vous ce que recherchent les voleurs et hackers ?
Si vous pensez que votre société est protégée du vol d’informations confidentielles, détrompez-vous ! Des experts ont trouvé que certaines violations de données ne sont pas conventionnelles et qu’elles dépendent de l’utilisation que les hackers peuvent en faire. Petit tour d’horizon des différents types d’attaques possibles pour une société.

Détruire un disque dur - Les 6 mythes
Récemment, le groupe Blancoo Technology a mené une étude sur 200 disques durs achetés en 2015 sur eBay et Craigslist. Elle révèle que, malgré le nettoyage des disques durs, 67% des 200 achetés détenaient encore des informations personnelles identifiables. De plus, 11% d’entre eux contenaient des données professionnelles sensibles.

Savez-vous pourquoi votre entreprise est une cible de choix ?
Si les cyberattaques touchent de grandes organisations, sachez que 71% des violations de données visent les petites et moyennes entreprises (PME). Une étude réalisée par PwC révèle qu’en 2015, les PME ont enregistré 64% de cyberattaques en plus, par rapport à 2014.